Jeunes comme vieux aujourd’hui sont constamment dans une pression difficile à expliquer. C’est à croire qu’il sont téléguidés par un train de vie, et qu’ils n’ont pas la main mise sur leur vie. Les programmes sont habituellement bien cadrés dans le temps, et les voyages encore plus. Il faut prendre l’avion à tel heure, se reposer un peu, aller directement visiter tel endroit, le lendemain réveil à 8 h, et ainsi de suite. Avec cette attitude, le voyage perd tout son sens, lui qui est très souvent fait pour découdre avec la routine du quotidien, prendre le temps de se reposer, découvrir de nouveaux horizons. Mais heureusement, vous pouvez encore changer cela en revenant à de meilleures attitudes.
Le « slow tourisme »
Il s’agit là d’une expression nouvellement créée, qui consiste à prendre le temps de profiter de son voyage, et non pas pour quelques jours de rally, mais un assez long séjour pour s’imprégner réellement. C’est très superficiel de visiter Paris en une journée, car non seulement vous ne pourrez pas voir tous les coins phares, mais en plus vous n’aurez pas eu le temps d’apprécier chaque découverte, ni de créer des liens à garder dans vos souvenirs. Cela dit, pour devenir un « slow traveler » c’est simple. Donnez vous au minimum deux semaines dans un seule endroit et vivez chaque instant comme un véritable résident de la zone. Ce n’est qu’ainsi que vous pourrez rentabiliser votre voyage en terme de repos, d’évasion, et de découverte dans un coin qui vous est cher.
L’éco-responsabilité s’applique même en vacances.
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